Les fanzines

Première de l'année, en prévision de la prochaine convention. voici la nouvelle Tête pour les jeunes avec une foule de chronique toutes aussi palpitantes et appétissantes les unes que les autres. bonne lecure 

Où, la petite Tête fait sa rentrée littéraire comme une grande.
Et vous propose un large panel de lectures très distrayante pour les petits comme pour les grands

Où l'équipe au grand complet profites des beaux jours pour faire de belles chroniques, vous prometant de belles lectures sur votre serviette de plage.

Où, en plus de vous délivrer de superbes chroniques (faites par de non moins superbes chroniqueurs (euses), nous vous expliquerons beaucoup de changement pour un avenir meilleur.
Bonne lecture.

Après 6 longs mois d'absence, elle est de retour. profites en, petits et grands.

Non, non, on ne vous a pas oublié. Pour vos grands yeux brillants d'excitation, voici le dernier numéro de notre petite tête.

Pour fêter ce début d'année, voici la dernière parution de ce fanzine si cher à vos coeurs. Dans ces quelques pages vous (re-)trouverez Justin Hurle qui nous parle de l' "ascenseur pour le futur" écrit par Nadia Coste. Jean Hugues Villacampa nous décrypte "Typos"  produit par l'ancien journaliste Pierdomenico Baccalario. Martin Nuville a décidé de defendre l'honneur de Jules Verne et de son " 20 000 lieus sous les mers". Fenrir tente de dresser les fantômes grâce à l'oeuvre "Dresseur de Fantôme" de Camille Brissot. Théo Viard S'initie au druidisme et part en Bretagne grace à "Finisterrae" de Jeanne Bocquenet-Carle. Quand à votre serviteur, il se plonge dans "le Puits des Mémoires" de Gabriel Katz.

Vous avez froid? Achetez un livre!
Vous aurez toujours froid mais vous aurez un livre.

A l'intérieur de ces douze pages, spéciales Décembre, vous aurez le plaisir de (re-)découvrir: Thinking Eternity, le polar transhumaniste de chez Mnémos, chroniqué par Marie-Charlotte. l'île Mystérieuse dans laquelle nous entraine Jean-hugues. Métamorphose édité chez Bragelonne et dénoncé par Fenrir. L'Unité, trouvable au livre de poche et justement trouvé par Elise. 1940, Et si la france avait continué la guerre... Décortiqué par Martin. Et enfin, Sous l'ombre des étoiles issue de Rivière Blanche, qui a transporté votre serviteur.
Pour ce qui est des Séries, il y a également une brève pour le deuxième tome de "Le Noir est ma Couleur" d'Olivier gay, que théo ne veut pas lacher. Une deuxième pour le troisième, et dernier, tome de "June" de Manon Fargetton, qui plait toujours à Elise. Et une dernière pour le troisième tome de "MONSTRE" d'Hervé Jubert dont j'attend la suite avec impatience.

Où nous conseillons des lectures spécialement pour le début des longues nuits,

Bien lancé que nous sommes, nous restons à douze pages. Dans ces pages, vous trouverez: "La guerre de 14 n'a pas eu lieu" sorti des méandres intellectuels d'Alain grousset, qui fit rêver et réfléchir Jean-Hugues Villacampa. "Nécromencien" écrit par la talentueuse Lish Mcbride et qui fut, heureusement pour nous, une erreur de lecture pour Fenrir. "Carabosse" De Michel Honaker, qui enchanta Marie-Charlotte Guillou. "Le noir est ma couleur" écrit par Olivier Gay et chroniqué par Théo viard, qui remontera aussi au origines d' Iron Man pour notre plus grand plaisir. "L'épée de l'orage", un des grands classiques de David Gemmell où Joanna Costa s'est plongée. "L'héritier de l'Empire" écrit par Timothy Zahn et qui est, sur avis de Martin Nuville, une lecture incontournable pour tout adolescent ou fan de Star Wars. Et enfin, la série "Monstre" écrit par Hervé Jubert dont je ne peux que vous recommander la lecture.

Où nous nous réconfortons de la fin des Vacances,

Grâce à nos nouvelles têtes, nous passons de huit à douze pages. Ces pages comprennent: "La saga de Peggy Sue" imaginée par Serge brussolo, décortiqué par Jean-Hugues Villacampa, "Les dix petits nègres" d'Agatha christie vu par Marie-Charlotte Guillou, "Métro Z" cauchemardé par Fabien Clavel et étudié par Théo Viard ( un petit nouveau), "Un de perdu" écrit par Gilles Abier et chroniqué par Justin Hurle, "Comment bien rater ses vacances" sur les conseils d'Anne Percin puis recommandé par Joanna Costa, La série "June" contée par Manon Fargetton ayant reçu un avis plus que favorable de la part d'Elise haroche (une autre petite nouvelle), "Alexandre le grand et les aigles de Rome" de Javier Negrete et "Fatherland" de robert Harris, tout deux compilés par Martin Nuville ( le dernier petit nouveau) et enfin "Silverwing" revé par kenneth opel et apprécié par votre serviteur. 

Où Jean-Hugues Villacampa évoque le salon de bandes dessinées de Chalonnes (49), Poème admire « Ecosse, terre de légendes au Lombard » Marie-Charlotte Guillou décortique « Les ficelles du crime » – Nathalie Charles aux Editions Rageot,. Justin Hurle rêve des « Chroniques de Spiderwick » de Holly Black et Pierre-Marie Soncarrieu chronique « Le voleur de feu » tome 1 par Terry Daery

Jean-Hugues Villacampa (que Cthulhu le protège de rouge-bonnet et bonnet-rouge) chronique « Le val de la morte embrassée » de Michel Honaker et s’étonne du Chien des Baskerville en Playmobil. Joanna Costa  se penche sur « A pile ou face » de Samantha Bailly. Quand Poème prend le contre-pied d’une chronique classique pour révéler les émotions que lui ont procuré le « Hantés » d’Anne Fakhouri. Marie-Charlotte Guillou décrypte « Red Code » de Philip Le Roy. Justin Hurle vante les mérites de « Ce que je n’aurai pas du voir » de Christophe Mauricourt (qui  bénéficie donc d’une seconde chronique dans nos colonnes - c’est un signe) et « La tête dans les choux » de Gaia Guasti. Enfin, Pierre-Marie Soncarrieu fait la nourrice de ses X-Babies !

Jean-Hugues Villacampa (que Cthulhu l’aide à faire sa rentrée) se penche sur Peggy Sue de Brussolo, Joanna Costa a pris sa machine à voyager dans le temps et regarde « Les aventures de Télémaque » de Fénelon. Poème consulte « L’horloge du temps perdu » d’Anne Fakhouri. Marie-Charlotte Guillou de régale de Thomas Geha (enfin, je veux dire) et son « A comme Alone ». justin Hurle se laisse conter « Les fables de l’Humpur » de Pierre Bordage quand Pierre Soncarrieu salue Thomas C. Durand et son « Premier souffle ».